Quelles méthodes ?

J’utilise plus volontiers le terme d’accompagnement psychologique que celui de psychothérapie. En effet, la plupart des personnes qui viennent me voir sont en difficulté psychologique et veulent évoluer vers un mieux être ; mais elles ne souffrent pas forcément d’une pathologie psychologique. C’est notamment le cas des difficultés de la vie amoureuse ou professionnelle, qui peuvent causer des souffrances sans être des « maladies ». J’emploie aussi le terme de psychothérapie, ou simplement de thérapie, consacré par la profession.

Le point commun à toutes les méthodes de psychothérapies est qu’elles reposent sur la relation entre le thérapeute et son client. Il est donc essentiel que cette relation soit de bonne qualité, incluant en particulier une confiance réciproque. Si, pour une raison ou une autre, cette confiance venait à manquer, il serait indispensable d’en parler et de la retrouver.

Indépendamment de ce point commun, revendiqué par tous les professionnels pratiquant la psychothérapie, il existe différentes écoles, qui diffèrent les unes des autres soit par leurs références théoriques, soit par leurs méthodes.

Pour ma part, je n’appartiens explicitement à aucune école, mais préfère utiliser les techniques et méthodes que je peux apprendre dans divers courants.

Je me situe principalement dans le courant dit « Thérapies stratégiques brèves », tout en faisant références à d’autres approches comme les thérapies cognitivo-comportementales, qui se développent beaucoup.

J’utilise également les modèles systémiques et plus précisément éco-systémique, particulièrement pour les questions conjugales, familiales et professionnelles. Plus précisément, je me réfère au modèle éco-systémique, sur lequel je donne des précisions à cette adresse.

Enfin, je pratique l’hypnothérapie, particulièrement efficace dans de nombreuses situations, en particuliers concernant la sexualité.

Une précision : je ne suis pas psychanalyste.

La psychanalyse est une des grandes théories psychologiques du 20° siècle qui a fortement influencé la pensée humaine. Durant mes études, j’ai appris les concepts psychanalytiques et y fais éventuellement référence. Mais je ne pratique pas la thérapie psychanalytique, qui correspond à une approche très particulière exigeant une expérience personnelle que je n’ai pas souhaité avoir.